Vade mecum du mémoire

Un cursus de formation diplômante à l’université se clôture par un mémoire.
C’est l’occasion pour l’étudiant de s’approprier, par le biais de l’écriture, ce qui lui a été enseigné pendant deux ans.
Cette dernière épreuve est de nature inhabituelle, surtout pour ceux qui ont quitté l’IFMK depuis longtemps et qui, de plus, ne sont pas forcément accoutumés à l’outil informatique. Pour ceux-là en particulier, le travail est encore plus exigeant et chronophage.
C’est donc souvent à ce stade que se pose la question de la poursuite ou non de la pratique de la physiothérapie inductive.
Bien que ce nouvel éclairage soit intéressant et semble souvent s’imposer par sa cohérence et ses résultats, l’enthousiasme ne résiste pas à l’épreuve de la pratique isolée. Il s’estompe vite, les résultats se font plus rares, les raisonnements moins évidents, voire surannés. La pratique au tapis devient de plus en plus épisodique, puis s’arrête. Dès lors, il ne reste plus de ces deux années à l’Université, qu’une impression vaguement positive et le souvenir de moments d’exaltation à l’apprentissage de cette autre manière d’envisager les mécanismes corporels et leurs déviances.

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